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15/11/2015 15:42
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Sur le plan artistique, certains pensaient que le socle vide ferait partie intégrante de l'oeuvre de Dibbets et qu'il s'opposerait au retour de la statue d'Arago sur son socle. Il n'en est rien. Il est même enthousiaste à cette idée.
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Sur le plan artistique, certains pensaient que le socle vide ferait partie intégrante de l'oeuvre de Dibbets et qu'il s'opposerait au retour de la statue d'Arago sur son socle. En fait, il s'est déclaré enthousiaste à cette idée et a même accepté au début de 2015 de faire partie du jury chargé de sélectionner le nouveau projet, avant de faire machine en arrière en fin d'année, obligeant à abandonner l'idée d'une statue sur le socle au profit d'une statue sur le sol de la place de l'Ile de Sein.
06/11/2015 16:55
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. C'est ainsi qu'on trouvera ci-après sa proposition de 1992 Attach:proposition.pdf ; le contrat d'études de mai 1992 Attach:contrat.pdf ; le marché final d'avril 1994 Attach:march.pdf .
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. C'est ainsi qu'on trouvera ci-après le résumé de sa proposition de 1992 Attach:proposition.pdf ; le contrat d'études passé par la Ville de Paris en mai 1992 Attach:contrat.pdf ; le marché final passé en avril 1994 Attach:march.pdf .
06/11/2015 16:54
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. C'est ainsi qu'on trouvera ci-après sa proposition de 1992 Attach:proposition.pdf ; le contrat d'études de mai 1992 Attach:contrat.pdf ; le marché final d'avril 1994 Attach:march.pdf ;
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. C'est ainsi qu'on trouvera ci-après sa proposition de 1992 Attach:proposition.pdf ; le contrat d'études de mai 1992 Attach:contrat.pdf ; le marché final d'avril 1994 Attach:march.pdf .
06/11/2015 16:54
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. C'est ainsi qu'on trouvera ci-après sa proposition de 1992 Attach:proposition.pdf ; le marché d'études conclu avec lui en 1992 Attach:march.pdf ; le contrat final conclu en 1994 Attach:contrat.pdf
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. C'est ainsi qu'on trouvera ci-après sa proposition de 1992 Attach:proposition.pdf ; le contrat d'études de mai 1992 Attach:contrat.pdf ; le marché final d'avril 1994 Attach:march.pdf ;
06/11/2015 16:50
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud : Attach:proposition.pdf Attach:march.pdf Attach:contrat.pdf
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. C'est ainsi qu'on trouvera ci-après sa proposition de 1992 Attach:proposition.pdf ; le marché d'études conclu avec lui en 1992 Attach:march.pdf ; le contrat final conclu en 1994 Attach:contrat.pdf
06/11/2015 16:48
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06/11/2015 16:46
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud : Attach:proposition.jpg Attach:march.jpg Attach:contrat.jpg
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud : Attach:proposition.pdf Attach:march.pdf Attach:contrat.pdf
06/11/2015 16:45
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud : Attach:proposition.jpg Atttach:march.jpg Attach:contrat.jpg
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud : Attach:proposition.jpg Attach:march.jpg Attach:contrat.jpg
06/11/2015 16:44
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. Voir attach:proposition.jpg atttach:march.jpg attach:contrat.jpg
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud : Attach:proposition.jpg Atttach:march.jpg Attach:contrat.jpg
06/11/2015 16:42
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud. Voir attach:proposition.jpg atttach:march.jpg attach:contrat.jpg
03/09/2015 15:09
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a déployé en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
03/09/2015 15:04
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de refaire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 par une commission réunissant des représentants de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker, la ville de Paris et le Ministère de la culture au profit d’une œuvre nouvelle. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de faire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 au profit d’une œuvre nouvelle par une commission réunissant des représentants de la ville de Paris, du ministère de la Culture et de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
03/09/2015 15:01
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de refaire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 par une commission réunissant des représentants de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker, la ville de Paris et le Ministère de la culture au profit d’une œuvre nouvelle.
C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
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Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de refaire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 par une commission réunissant des représentants de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker, la ville de Paris et le Ministère de la culture au profit d’une œuvre nouvelle. C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
03/09/2015 15:01
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C'est ainsi que, à la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
03/09/2015 14:59
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Comme beaucoup de statues en bronze, la statue d'Arago a été fondue par les Allemands en 1942 sur la base d'une liste établie par l'Etat Français. Mais elle n’a jamais été refaite, alors que la plupart des autres statues parisiennes et autres l’ont été. C’est ainsi que la statue d’Arago érigée en 1865 dans sa ville natale d’Estagel (Pyrénées Orientales), fondue également en 1942, a été remplacée en 1955 par une nouvelle statue faite par le sculpteur Marcel Homs (1910-1995). Une statue d’Arago par Antonin Mercier orne également depuis 1879 la place centrale de Perpignan où il a fait ses études secondaires. A Paris, son socle reste désespérément vide. Claude Catala, X 1977, président de l’Observatoire de Paris, écrit à ce sujet en 2014 : « La disparition de la statue de François Arago en 1942 a porté un immense préjudice à la mémoire de ce grand savant, qui a joué un rôle majeur dans l’histoire de l’Ecole Polytechnique, dans celle de l’Observatoire de Paris mais aussi dans l’histoire des sciences et dans l'histoire politique de notre pays ».
Dans ''Rendez-vous avec Paris'', écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises, Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago !... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
Dans ''Rendez-vous avec Paris'', écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises, Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago !
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Comme beaucoup de statues en bronze, la statue d'Arago a été fondue par les Allemands en 1942 sur la base d'une liste établie par l'Etat Français. Mais elle n’a jamais été refaite, alors que la plupart des autres statues parisiennes et autres l’ont été. C’est ainsi que la statue d’Arago érigée en 1865 dans sa ville natale d’Estagel (Pyrénées Orientales), fondue également en 1942, a été remplacée en 1955 par une nouvelle statue faite par le sculpteur Marcel Homs (1910-1995). Une statue d’Arago par Antonin Mercier orne également depuis 1879 la place centrale de Perpignan où il a fait ses études secondaires. A Paris, son socle reste désespérément vide.
En 1955, dans ''Rendez-vous avec Paris'', Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! ... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..." En 2014, Claude Catala, X 1977, président de l’Observatoire de Paris, confirme : « La disparition de la statue de François Arago en 1942 a porté un immense préjudice à la mémoire de ce grand savant, qui a joué un rôle majeur dans l’histoire de l’Ecole Polytechnique, dans celle de l’Observatoire de Paris mais aussi dans l’histoire des sciences et dans l'histoire politique de notre pays ».
En 1955, dans ''Rendez-vous avec Paris'', Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! ... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..." En 2014, Claude Catala, X 1977, président de l’Observatoire de Paris, confirme : « La disparition de la statue de François Arago en 1942 a porté un immense préjudice à la mémoire de ce grand savant, qui a joué un rôle majeur dans l’histoire de l’Ecole Polytechnique, dans celle de l’Observatoire de Paris mais aussi dans l’histoire des sciences et dans l'histoire politique de notre pays ».
03/09/2015 14:57
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Dans ''Rendez-vous avec Paris'', écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises, Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! - geste de la guerre, sot et cruel... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
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Dans ''Rendez-vous avec Paris'', écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises, Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! ... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
03/09/2015 14:57
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Dans ''Rendez-vous avec Paris'', écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises), Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! - geste de la guerre, sot et cruel, comme toutes les inventions de la guerre... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
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Dans ''Rendez-vous avec Paris'', écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises, Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! - geste de la guerre, sot et cruel... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
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Dans "Rendez-vous avec Paris", écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises), Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! - geste de la guerre, sot et cruel, comme toutes les inventions de la guerre... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
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Dans ''Rendez-vous avec Paris'', écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises), Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! - geste de la guerre, sot et cruel, comme toutes les inventions de la guerre... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
03/09/2015 14:55
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Dans "Rendez-vous avec Paris", écrit en 1955 et réédité à de nombreuses reprises), Gérard Bauer (alias Guermantes) écrivait : "Le mur gris du boulevard Arago, avec son socle sans statue, - adieu M. Arago ! - geste de la guerre, sot et cruel, comme toutes les inventions de la guerre... Ces socles sans statues, quel veuvage imprévisible !..."
03/09/2015 14:51
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Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous médaillon de la rue Auguste Comte lors de sa pose et ce qui en reste en avril 2014).
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Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous médaillon de la rue Auguste Comte lors de sa pose et ce qui en restait en avril 2014).
02/09/2015 16:59
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Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue, comme celui d'une oeuvre nouvelle, s’élèverait à près de 350.000 € et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri et de la prochaine célébration du 350ème anniversaire de la création de l'Observatoire de Paris (1667) et de l'Académie des Sciences (1666).
to:
Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue, comme celui d'une oeuvre nouvelle, s’élèverait à près de 350.000 € et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (2015) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri et de la prochaine célébration du 350ème anniversaire de la création de l'Observatoire de Paris (1667) et de l'Académie des Sciences (1666).
02/09/2015 16:58
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02/09/2015 16:58
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Changed line 17 from:
Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élèverait à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) en peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri et de la célébration en 2017 du 350ème anniversaire de la création de l'Observatoire de Paris (1667).
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Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue, comme celui d'une oeuvre nouvelle, s’élèverait à près de 350.000 € et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri et de la prochaine célébration du 350ème anniversaire de la création de l'Observatoire de Paris (1667) et de l'Académie des Sciences (1666).
09/01/2015 12:17
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Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élèverait à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) en peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri.
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Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élèverait à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) en peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri et de la célébration en 2017 du 350ème anniversaire de la création de l'Observatoire de Paris (1667).
05/12/2014 15:45
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Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élèverait à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri.
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Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élèverait à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) en peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri.
05/12/2014 15:44
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Changed lines 13-15 from:
De ce fait l’Observatoire de Paris a depuis 1994 été à plusieurs reprises sollicité pour participer à des projets de restitution de la statue originale. Le dernier en date (2005-2009), fortement soutenu par l’ancien président de l’Observatoire, Daniel Egret, ainsi que par l’Institut et par la Mairie du XIVème, a buté sur deux difficultés : difficulté budgétaire, le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élevant à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur ; difficulté artistique, Jan Dibbets considérant que le socle vide fait partie intégrante de son oeuvre.
ARS ARAGO considère ces deux difficultés comme surmontables. Pour la difficulté financière, les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain. Quant à la difficulté « artistique », ni le droit de propriété ni le bon sens ne peuvent justifier que l’on ne puisse remettre la statue d’Arago sur son socle, même si les services de l’ancienne Mairie partageaient le point de vue de Dibbets, sans doute pour ne pas se déjuger du fait de leur implication dans la sélection de son projet. Mais beaucoup d’eau a coulé depuis lors sous les ponts de Paris…
ARS ARAGO considère ces deux difficultés comme surmontables. Pour la difficulté financière, les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part,
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De ce fait l’Observatoire de Paris a depuis 1994 été à plusieurs reprises sollicité pour participer à des projets de restitution de la statue originale. Le dernier en date (2005-2009), fortement soutenu par l’ancien président de l’Observatoire, Daniel Egret, ainsi que par l’Institut et par la Mairie du XIVème, a buté sur un obstacle artistique et sur un problème financier.
Sur le plan artistique, certains pensaient que le socle vide ferait partie intégrante de l'oeuvre de Dibbets et qu'il s'opposerait au retour de la statue d'Arago sur son socle. Il n'en est rien. Il est même enthousiaste à cette idée.
Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élèverait à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri.
Sur le plan artistique, certains pensaient que le socle vide ferait partie intégrante de l'oeuvre de Dibbets et qu'il s'opposerait au retour de la statue d'Arago sur son socle. Il n'en est rien. Il est même enthousiaste à cette idée.
Sur le plan budgétaire, il est vrai que le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élèverait à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur et que les finances publiques ne sont pas florissantes. Cependant les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain, sans parler du regain d'intérêt public pour l'astronomie suite à la récente équipée de l'ESA sur la comète Tchouri.
19/04/2014 12:12
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%width=200px% Attach:medaillon.jpg ''avant'' %width=200px% Attach:comteparti.jpg ''maintenant''
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19/04/2014 12:07
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Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous empreinte du médaillon de la rue Auguste Comte photographiée en avril 2014).
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Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous médaillon de la rue Auguste Comte lors de sa pose et ce qui en reste en avril 2014).
19/04/2014 12:05
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%width=200px% Attach:medaillon.jpg ''avant'' %width=200px% Attach:empreinte.jpg ''après''
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19/04/2014 12:04
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19/04/2014 11:59
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Changed lines 9-11 from:
Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous empreinte du médaillon de la rue Auguste Comte photographiée le 12 avril 2014),
to:
Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous empreinte du médaillon de la rue Auguste Comte photographiée en avril 2014).
%width=200px% Attach:empreinte.jpg
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19/04/2014 11:31
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Changed lines 3-5 from:
Comme beaucoup de statues en bronze, elle a été fondue par les Allemands pendant la guerre
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Comme beaucoup de statues en bronze, la statue d'Arago a été fondue par les Allemands en 1942 sur la base d'une liste établie par l'Etat Français. Mais elle n’a jamais été refaite, alors que la plupart des autres statues parisiennes et autres l’ont été. C’est ainsi que la statue d’Arago érigée en 1865 dans sa ville natale d’Estagel (Pyrénées Orientales), fondue également en 1942, a été remplacée en 1955 par une nouvelle statue faite par le sculpteur Marcel Homs (1910-1995). Une statue d’Arago par Antonin Mercier orne également depuis 1879 la place centrale de Perpignan où il a fait ses études secondaires. A Paris, son socle reste désespérément vide. Claude Catala, X 1977, président de l’Observatoire de Paris, écrit à ce sujet en 2014 : « La disparition de la statue de François Arago en 1942 a porté un immense préjudice à la mémoire de ce grand savant, qui a joué un rôle majeur dans l’histoire de l’Ecole Polytechnique, dans celle de l’Observatoire de Paris mais aussi dans l’histoire des sciences et dans l'histoire politique de notre pays ».
19/04/2014 11:27
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Changed lines 13-15 from:
De ce fait l’Observatoire de Paris a depuis 1994 été à plusieurs reprises sollicité pour participer à des projets de restitution de la statue originale. Le dernier en date (2005-2009), fortement soutenu par l’ancien président de l’Observatoire, Daniel Egret, ainsi que par l’Institut et par la Mairie du XIVème, a buté sur deux difficultés : difficulté budgétaire, le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élevant à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur ; difficulté artistique, Jan Dibbets considérant que le socle vide fait partie intégrante de son oeuvre.
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De ce fait l’Observatoire de Paris a depuis 1994 été à plusieurs reprises sollicité pour participer à des projets de restitution de la statue originale. Le dernier en date (2005-2009), fortement soutenu par l’ancien président de l’Observatoire, Daniel Egret, ainsi que par l’Institut et par la Mairie du XIVème, a buté sur deux difficultés : difficulté budgétaire, le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élevant à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur ; difficulté artistique, Jan Dibbets considérant que le socle vide fait partie intégrante de son oeuvre.
ARS ARAGO considère ces deux difficultés comme surmontables. Pour la difficulté financière, les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain. Quant à la difficulté « artistique », ni le droit de propriété ni le bon sens ne peuvent justifier que l’on ne puisse remettre la statue d’Arago sur son socle, même si les services de l’ancienne Mairie partageaient le point de vue de Dibbets, sans doute pour ne pas se déjuger du fait de leur implication dans la sélection de son projet. Mais beaucoup d’eau a coulé depuis lors sous les ponts de Paris…
ARS ARAGO considère ces deux difficultés comme surmontables. Pour la difficulté financière, les nouvelles techniques d’impression en 3D peuvent permettre de reconstituer une œuvre à moindres frais que précédemment. D’autre part, le 150ème anniversaire de l’Association des anciens élèves de Polytechnique (AX) peut être une occasion de levée de fonds pour rendre hommage à un glorieux ancien qui en a été élève, professeur, directeur et parrain. Quant à la difficulté « artistique », ni le droit de propriété ni le bon sens ne peuvent justifier que l’on ne puisse remettre la statue d’Arago sur son socle, même si les services de l’ancienne Mairie partageaient le point de vue de Dibbets, sans doute pour ne pas se déjuger du fait de leur implication dans la sélection de son projet. Mais beaucoup d’eau a coulé depuis lors sous les ponts de Paris…
19/04/2014 11:21
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Added lines 2-12:
En 1893, une souscription publique permit d’ériger la statue d'Arago sur la place de l’Ile de Sein (Bd Arago). Faite par le sculpteur Alexandre Oliva (1823-1890) et fondue par Antoine Durenne, cette statue de 3,20 m de haut, placée sur un socle de 4,40 m de haut, a été inaugurée par Raymond Poincaré, X 1845, alors ministre de l’Instruction publique.
Comme beaucoup de statues en bronze, elle a été fondue par les Allemands pendant la guerre sur la base d'une liste établie par l'Etat Français. Mais elle n’a jamais été refaite, alors que la plupart des autres statues parisiennes et autres l’ont été. C’est ainsi que la statue d’Arago érigée en 1865 dans sa ville natale d’Estagel (Pyrénées Orientales), fondue également en 1942, a été remplacée en 1955 par une nouvelle statue faite par le sculpteur Marcel Homs (1910-1995). Une statue d’Arago par Antonin Mercier orne également depuis 1879 la place centrale de Perpignan où il a fait ses études secondaires. A Paris, son socle reste désespérément vide. Claude Catala, X 1977, président de l’Observatoire de Paris, écrit à ce sujet en 2014 : « La disparition de la statue de François Arago en 1942 a porté un immense préjudice à la mémoire de ce grand savant, qui a joué un rôle majeur dans l’histoire de l’Ecole Polytechnique, dans celle de l’Observatoire de Paris mais aussi dans l’histoire des sciences et dans l'histoire politique de notre pays ».
Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de refaire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 par une commission réunissant des représentants de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker, la ville de Paris et le Ministère de la culture au profit d’une œuvre nouvelle.
A la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous empreinte du médaillon de la rue Auguste Comte photographiée le 12 avril 2014),
De ce fait l’Observatoire de Paris a depuis 1994 été à plusieurs reprises sollicité pour participer à des projets de restitution de la statue originale. Le dernier en date (2005-2009), fortement soutenu par l’ancien président de l’Observatoire, Daniel Egret, ainsi que par l’Institut et par la Mairie du XIVème, a buté sur deux difficultés : difficulté budgétaire, le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élevant à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur ; difficulté artistique, Jan Dibbets considérant que le socle vide fait partie intégrante de son oeuvre.
Comme beaucoup de statues en bronze, elle a été fondue par les Allemands pendant la guerre sur la base d'une liste établie par l'Etat Français. Mais elle n’a jamais été refaite, alors que la plupart des autres statues parisiennes et autres l’ont été. C’est ainsi que la statue d’Arago érigée en 1865 dans sa ville natale d’Estagel (Pyrénées Orientales), fondue également en 1942, a été remplacée en 1955 par une nouvelle statue faite par le sculpteur Marcel Homs (1910-1995). Une statue d’Arago par Antonin Mercier orne également depuis 1879 la place centrale de Perpignan où il a fait ses études secondaires. A Paris, son socle reste désespérément vide. Claude Catala, X 1977, président de l’Observatoire de Paris, écrit à ce sujet en 2014 : « La disparition de la statue de François Arago en 1942 a porté un immense préjudice à la mémoire de ce grand savant, qui a joué un rôle majeur dans l’histoire de l’Ecole Polytechnique, dans celle de l’Observatoire de Paris mais aussi dans l’histoire des sciences et dans l'histoire politique de notre pays ».
Depuis 70 ans, divers projets ont été envisagés afin de remettre une statue d’Arago sur son socle vide mais malheureusement aucun n’a abouti à ce jour et même le projet de refaire une copie de l’ancienne statue a été écarté en 1992 par une commission réunissant des représentants de l’association François Arago, présidée par l’astronome Jean-Claude Pecker, la ville de Paris et le Ministère de la culture au profit d’une œuvre nouvelle.
A la suite d’un concours international lancé par la ville de Paris et le Ministère de la culture dans le cadre d’une commande publique, l’artiste néerlandais Jan Dibbets a été choisi pour déployer en 1994 un hommage à Arago sur l’ensemble du territoire parisien, sous forme de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre fixés au sol le long du méridien de Paris du périphérique nord au périphérique sud.
Force est pourtant de constater que cette œuvre est peu visible aux yeux de la population parisienne et qu’elle a déçu les nombreux admirateurs d’Arago. Elle est au surplus bien fragile, de nombreux médaillons ayant disparu au fil des ans suite à des réfections de trottoirs ou de simples larcins (ci-dessous empreinte du médaillon de la rue Auguste Comte photographiée le 12 avril 2014),
De ce fait l’Observatoire de Paris a depuis 1994 été à plusieurs reprises sollicité pour participer à des projets de restitution de la statue originale. Le dernier en date (2005-2009), fortement soutenu par l’ancien président de l’Observatoire, Daniel Egret, ainsi que par l’Institut et par la Mairie du XIVème, a buté sur deux difficultés : difficulté budgétaire, le coût de réalisation d’une copie de l’ancienne statue s’élevant à près de 350.000 € TTC (TVA à 10 %), répartis sensiblement par moitié entre le sculpteur et le fondeur ; difficulté artistique, Jan Dibbets considérant que le socle vide fait partie intégrante de son oeuvre.